OISE | Découvrir Senlis et ses incontournables
Aujourd’hui sur notre blog voyage je vous propose d‘aller faire un tour dans l’Oise pour découvrir Senlis, cette ville médiévale, ancienne cité royale, à seulement 45 minutes de Paris ! Nous avons déjà eu l’occasion de traverser le département mais nous n’avions jamais pris le temps de nous arrêter. Pourtant, il y a longtemps que je voulais découvrir le château de Chantilly...
Le week-end dernier nous avons donc pris la route pour quelques jours entre Senlis et Chantilly avec notre appareil photo. On ne savait pas vraiment à quoi s’attendre en découvrant Senlis mais dès les premiers pas nous avons été conquis par cette ville médiévale établie autour de sa cathédrale gothique et qui possède 3 musées. Avec ses ruelles pavées qui ont servi de décor à de nombreux films, ses remparts, son château royal, sa cathédrale, ses bonnes adresses, ses arènes gallo-romaines…
Senlis offre un cadre préservé et plein de charme,
parfait pour un week-end.
Localisation
La ville médiévale de Senlis se situe dans le département de l’Oise (région Hauts de France), à seulement 45 km au nord de Paris, 35 km de Compiègne et de l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle ou 10 km de Chantilly ou de l’abbaye royale de Chaalis.
Avec près de 15 000 habitants, elle se situe sur la rivière Nonette, entre les forêts de Chantilly et d’Ermenonville au sud, et d’Halatte au nord. Senlis reste une ville discrète et peu connue malgré sa longue histoire et son riche patrimoine historique.
MES INCONTOURNABLES
Que faire, que voir à Senlis ?
Pour vous aider à situer les incontournables de la ville de Senlis voici une carte avec les différents sites que je mentionne dans mon article :
L’office de tourisme et le parc du château
Nous démarrons notre visite de la ville de Senlis par un tour à l’office de tourisme. Impossible de le rater il se situe juste en face de la cathédrale, dans le parc du château royal. N’hésitez pas à passer la porte pour vous procurer une carte du centre-ville afin de ne pas louper les incontournables. Vous pouvez aussi faire une visite guidée du centre-ville (renseignements auprès de l’Office de tourisme : 03.44.67.37.37).
La cathédrale Notre-Dame
Comme nous étions juste devant la cathédrale nous n’avons pas pu nous empêcher de démarrer la visite par ce monument emblématique de la ville. Tout au long du week-end nous allons d’ailleurs nous repérer dans Senlis en observant le clocher, visible des quatre coins de la ville. Comme nous étions garés sur le parking Thomas Couture qui se trouve à deux pas de la cathédrale, c’était un bon point de repère.
La cathédrale Notre-Dame de Senlis a été édifiée sur quatre siècles, en faisant un exemple parfait de l’évolution du style gothique du primitif au rayonnant. Avec ses 76 mètres de longueur et 24 m sous voûte, c’est l’un des premiers édifices gothiques de France et l’une des plus petites cathédrales (à peine plus que la cathédrale de Beauvais avec ses 72 mètres).
Bâtie sur l’enceinte gallo-romaine, la cathédrale évolue au fil des siècles. Les travaux débutent en 1151 et s’achèvent au XVIème siècle après que la charpente ait pris feu entraînant l’effondrement des voûtes. A ce moment là, Louis XII et François Ier mettent la main au porte-monnaie pour reconstruire les parties hautes en les surélevant de 6 m, et font parer les façades latérales d’un décor flamboyant très riche.
La restauration se prolonge jusqu’en 1515 à laquelle s’ajoute l’édification de la chapelle du Sacré-Cœur en 1671 et le décor néo-classique du chœur en 1777. La Révolution française fait disparaître le mobilier et détruit les têtes de statues-colonnes du portail occidental, remplacées au milieu du XIXème siècle. La cathédrale est classée au titre des monuments historiques sur la première liste de 1840.
La flèche de l’édifice, haute de 78 mètres, la rend visible de loin à travers la ville ou la plaine du Valois.
A l’intérieur la nef est très courte, bien plus courte que le chœur. Elle possède deux collatéraux de chaque côté, ce qui la rend plus large (28,5 mètres) que longue (23 m). L’élévation est à trois niveaux : grandes arcades, tribunes et fenêtres hautes.
Sur le côté sud une petite grille a été installée pour permettre d’observer la crypte. Dans la nef, près du portail Ouest une plaque rappelle que Jeanne d’Arc a battu les troupes anglaises du duc de Bedford dans la plaine de Senlis en août 1429.
La façade sud de la cathédrale donne sur le parvis où l’on retrouve le musée d’Art et d’archéologie mais où l’on peut également distinguer une chapelle octogonale. Nous avons eu la chance de pouvoir pousser la porte de cette petite chapelle habituellement fermée, juste avant la célébration d’un baptême :
La façade sud de la cathédrale et le parvis
Le château royal et la muraille gallo-romaine
Adossés à la muraille gallo-romaine et face au portail ouest de la cathédrale se trouvent les vestiges du Château royal. Ils témoignent de la présence des rois de France à Senlis de l’élection d’Hugues Capet en 987 jusqu’au règne d’Henri IV. Le corps de logis et la chapelle Saint-Denis ont été édifiés avant 1137 puis les bâtiments sont remaniés plusieurs fois jusqu’au XVIème siècle, Henri IV étant le dernier roi à y résider.
Vendu en 1793 comme bien national, le Château royal est resté propriété privée jusqu’à son achat par la Ville en 1956. De l’époque médiévale ne subsistent que quelques bâtiments en ruine le long de l’enceinte gallo-romaine. Nous pouvons les observer de loin mais les ruines sont fermées par un grillage par mesure de sécurité.
Le prieuré
Dans le parc du château royal se trouve également un prieuré fondé vers 1260 par Saint Louis pour accueillir les reliques de Saint-Maurice rapportées des croisades. L’ensemble comprend une chapelle royale et des bâtiments monastiques. Le cloître est détruit au XVIIIème siècle à l’exception de l’aile Est (dortoir des moines, salle capitulaire) est toujours présente.
Le musée de la Vénerie
À l’emplacement de l’aile ouest du cloître, où se trouvaient sans doute un réfectoire, des locaux d’étude et de service, a été édifiée au début du XVIIIe siècle l’imposante demeure de l’abbé commendataire qui abrite aujourd’hui le musée de la Vénerie. Il occupe quatre niveaux du logis du prieuré Saint-Maurice.
Nous n’avons pas visité ce musée mais nous avons eu la chance de pouvoir aller sous le bâtiment et découvrir l’une des nombreuses caves-carrières de la ville.
Horaires :
Ouvert du mercredi au dimanche de 10h à 13h et de 14h à 17h30.
(sauf les 25 décembre, 1er janvier et 1er mai)
Tarifs :
➔ Pass musées à 6 € (musée d’Art et d’Archéologie + musée de la Vénerie)
➔ 3,50 € pour le tarif réduit
Gratuit pour les moins de 18 ans
Pour plus de renseignements :
Tél : 03 44 29 49 93
Site internet
L’ « arbre remarquable » et le parc
Le parc avec les ruines du château royal se visite tous les jours gratuitement. N’hésitez pas à aller au fond du parc pour observer l’un des plus beaux arbres de la ville : un hêtre pourpre gigantesque.
Le jardin du Roy et les remparts
De l’autre côté de la muraille et du château royal se trouve un autre parc appelé : jardin du roy. On peut y observer une partie de la muraille gallo-romaine du IIIe siècle, construite pour se protéger des invasions alamanes et franques. Cette épaisse muraille est longue de 800 mètres. Aujourd’hui les vestiges se trouvent pour la plupart dans les jardins privés mais certains tronçons sont encore visibles (et notamment dans le plan de la ville où l’on distingue bien les deux murailles).
L’hôtel de Vermandois
Entre le parc du château royal et la cathédrale vous remarquerez sans doute l’hôtel de Vermandois avec sa tour penchée. Ce bâtiment adossé à la muraille gallo-romaine constitue l’un des rares témoignages de l’architecture civile urbaine du milieu du XIIe siècle. A l’époque de sa construction, les grands du royaume et leur suite résident à Senlis. Raoul de Vermandois, petit-fils du capétien Henri Ier, fait construire cet hôtel. Malgré sa taille modeste, la demeure est conçue à l’image du palais royal de Louis VI et se compose alors d’un corps de logis à quatre niveaux (sous-sol, rez-de-chaussée, 1er étage et combles). Des restructurations interviennent au XVIe siècle avant d’être vendu comme bien national en 1791. Il est acquis par la ville de Senlis en 1819 qui le transformera en musée au XXème siècle avant de déplacer les collections vers le palais épiscopal.
Le parvis de la cathédrale
Le musée d’Art et d’Archéologie
Au chevet de la cathédrale de Senlis, l’ancien palais épiscopal abrite aujourd’hui le musée d’Art et d’Archéologie, un de mes coups de cœur à Senlis. Il faut dire que nous avons eu la chance de visiter le musée de nuit et gratuitement lors de la nuit européenne des musées.
J’adore cet évènement et chaque année on se laisse tenter par la visite nocturne d’un musée et découvrir un musée la nuit… c’est magique !
L’ancien palais épiscopal se trouve dans le prolongement de la cathédrale. A la Révolution il est vendu avant de redevenir propriété de l’Eglise en 1829 et d’être loué. Thomas Couture y installe son atelier dans la chapelle en 1860 puis le tribunal occupe les locaux à partir de 1926. Classé Monuments historiques en 1964, l’évêché est acheté par la ville de Senlis en 1981 pour y installer son musée. Ce nouvel établissement est officiellement inauguré en 1989.
Le musée se visite pour le bâtiment en lui-même, son architecture et ses fondations constituées par les remparts gallo-romains mais aussi pour ses collections variées installées sur les trois étages.
Au sous-sol, on remarque les vestiges de la muraille et d’un habitat gallo-romain qui était adossé au rempart du IIIe siècle. Dans une magnifique cave voûtée sont présentés près de 300 ex-voto, des stèles en offrande aux dieux d’époque antique. Ils ont été trouvés lors des fouilles en 1873/1874 d’un ancien temple de guérison gallo-romain de la forêt d’Halatte, à quelques kilomètres au nord de Senlis.
Au rez-de-chaussée, dans une seconde salle voûtée d’ogives du XIVème siècle, sont présentées les collections archéologiques avec des sculptures comme la Tête d’homme barbu dite Tête de Senlis, un monumental socle en bronze découvert dans l’enceinte du château, des vases antiques, bijoux, des statues gothiques, des maquettes de la cathédrale et des objets liturgiques du Moyen Âge.
La visite se poursuit ensuite au premier étage avec la grande salle où l’évêque tenait ses assemblées – galerie renaissance et chambre des Anges – et la chapelle du chancelier Guérin début XIIIème siècle. C’est à cet étage que sont exposées les peintures du XVIIème au XXème siècle, Champaigne, Vignon, Corot, Boudin… et bien sûr les deux artistes locaux : Thomas Couture et Séraphine Louis.
Les toiles du peintre Thomas Couture (1815-1879) sont exposées dans la chapelle qui était son atelier au XIXème siècle. On y trouve une copie de son célèbre tableau Les romains de la décadence, visible à Paris au musée d’Orsay.
Deuxième artiste à l’honneur dans la galerie : Séraphine Louis (1864-1942), surnommée Séraphine de Senlis. Femme de ménage à Senlis, cette peintre de style naïf finit tragiquement ses jours, comme sa contemporaine Camille Claudel, en hôpital psychiatrique. Un film sorti en 2008 retrace sa vie, elle est incarnée par Yolande Moreau. Parmi les œuvres exposées : Grandes Marguerites, Arbre de vie, Arbre de paradis.
Horaires :
Ouvert du mercredi au dimanche de 10h à 13h et de 14h à 17h30.
(sauf les 25 décembre, 1er janvier et 1er mai)
Tarifs :
➔ Pass musées à 6 € (musée d’Art et d’Archéologie + musée de la Vénerie)
➔ 3,50 € pour le tarif réduit
Gratuit pour les moins de 18 ans
Pour plus de renseignements :
Tél : 03 44 24 86 72
Site internet
Une maison senlisienne
Lors de notre visite du centre-ville nous avons eu la chance de pouvoir passer la porte d’une maison senlisienne. La propriétaire du lieu était une passionnée et était très fière de sa maison qu’elle a décorée avec goût tout en préservant son histoire. La maison se décline sur différents étages et demi-étages autour de l’escalier en colimaçon qui dessert la cuisine, les salons, les chambres…
Derrière la maison le jardin est un petit havre de paix en plein cœur de ville.
Et sous la maison on retrouve une cave carrière comme il en existe plusieurs sous la ville. La cave voutée débouche ensuite sur un escalier qui mène encore plus bas vers deux autres salles d’où ont été extraites des roches. Aujourd’hui c’est le lieu parfait pour conserver le vin ou affronter la canicule !
Rue de la Treille
Après la cathédrale et le château royal n’hésitez pas à vous perdre dans les ruelles de la ville pour en découvrir ses secrets. Les rues médiévales sont encore pavées et bordées de belles demeures anciennes. Ici le temps est comme resté figé, ce qui explique pourquoi la ville sert régulièrement de décor pour le tournage de films historiques. Il faut dire qu’il y a peu de modifications à apporter pour retrouver le charme d’antan.
Parmi les plus jolies rues il y a la rue de la Treille où l’on peut entrer en franchissant une fausse-porte creusée dans l’enceinte gallo-romaine. On tombe alors nez à nez avec l’Hôtel d’Hérivaux du XVIème siècle, connu aussi sous le nom d’hôtel de la Chancellerie fraîchement restauré. Un peu plus loin se trouve une magnifique maison à pans de bois avec ses jolies roses.
Le charme de Senlis
Quelques détails au détour des ruelles…
Les rues commerçantes
Lors de notre séjour nous avons eu l’occasion de passer deux fois sur le marché (le vendredi et le lundi). Les rues de la ville sont alors très animées et on ressent l’ambiance des petits villages dans cette ville qui compte pourtant plus de 15 000 habitants.
Quelques devantures
Les ruelles médiévales
Au fil de votre balade dans le centre-ville, levez les yeux et regardez autour de vous. De belles enseignes, des maisons à colombages, de belles demeures, de beaux rosiers… se cachent ça et là.
Les arènes gallo-romaines
En nous éloignant de l’enceinte du IIIème siècle on trouve d’autres merveilles comme les arènes gallo-romaines. Edifiées au Ier siècle après J.C., elles constituent un site unique dans la région Hauts de France. Abandonnées au VIème siècle, elles sont redécouvertes en 1865 par Félix Vernois.
Elles ne sont visibles qu’avec une visite guidée ou lors des journées du Patrimoine en septembre.
L’entrée des arènes s’effectue par la place des Arènes, et plus précisément par un portail grillagé au sud-ouest. Un panneau indique la présence des arènes et une allée d’ifs bordée par des potagers et des bases de colonnes antiques. Les arènes ne sont pas visibles depuis la rue et sont entièrement entourées de propriétés et jardins privés.
Nous avons donc suivi notre guide pour découvrir les arènes de Senlis qui sont relativement petites, avec 41,5 mètres et 34,45 mètres pour les axes de l’arène proprement dite, comparées à 66 m et 35 m pour Pompéi ou 85 m et 53 m pour le Colisée de Rome. La capacité en places assises avoisinait les 8 000, sans qu’il soit possible de calculer un chiffre exact.
Les gradins ne sont pas bien conservés ; ils ne gardent que leur forme, mais pas les rangées de bancs.
Difficile d’imaginer 8 000 personnes ici !
Les spectacles donnés furent le plus souvent des combats d’animaux bien qu’il n’y ait pas de preuves de combats de gladiateurs, il est tout à fait probable que les arènes avaient aussi cette fonction. Une petite scène sur la chapelle nord indique qu’il y avait aussi des spectacles de danses, chant, pièces de théâtre… Les deux chapelles au nord et au sud servaient comme lieux de culte aux divinités.
La rue de la Montagne Saint-Aignan
En sortant des arènes nous longeons les remparts sud de la ville et croisons une rue très charmante : la rue de la Montagne Saint-Aignan. Depuis les remparts on a aussi une petite vue sur la ville.
La Nonette
En poursuivant notre chemin nous croisons la rivière de la ville : la Nonette. Cette dernière longe les remparts du XIIIe siècle qui ont été aménagés et qui sont ouverts à la promenade. Un coin bucolique à souhait et où des gens pique-niquaient au moment de notre visite.
Le passage des Carmes
Pour rejoindre la balade sur les remparts nous empruntons le passage des Carmes, un petit escalier et un court chemin en pierre qui longe la Nonette. Ce passage doit son nom au monastère qui se trouve à cet endroit mais qui est en bien triste état… quel dommage ! La chapelle des Carmes est encore visible dans la rue Vieille de Paris.
L’abbaye Saint-Vincent
La balade sur les remparts nous mène jusqu’au bastion de la porte de Meaux et l’abbaye Saint-Vincent. Cette abbaye abrite aujourd’hui un lycée et n’est ouverte que lors des journées du patrimoine. Construite au XIIè siècle, elle a eu de multiples rôles : utilisée comme hôpital militaire, caserne, filature puis maison d’éducation, et maintenant un lycée privé.
Les remparts et le quartier médiéval
Le monastère de la Présentation
La gare routière
Un peu à l’extérieur du centre de Senlis, on peut jeter un coup d’œil à la gare routière. Elle a été reconstruite dans les années 1920 dans un style original et la voie ferrée a laissé la place à une promenade piétonne et cycliste.
Senlis by night
Pour terminer votre visite et pour voir la ville différemment je vous conseille de vous promener de nuit, avant ou après un bon dîner au restaurant. C’est l’occasion de redécouvrir les monuments de la ville et notamment la cathédrale qui est bien mise en lumière.
Où dormir ? Où manger Où prendre le goûter
Retrouvez toutes nos bonnes adresses sur Chartres dans mon article >
Nos bonnes adresses à Senlis.
Connaissez-vous Senlis ? Envie d’aller y passer un week-end ?
Vous avez peut-être des lieux insolites ou de bonnes adresses à nous conseiller,
ou simplement envie de nous faire un coucou alors n’hésitez pas à nous laisser un commentaire !
Retrouvez tous mes articles sur SENLIS-CHANTILLY
↓ ↓
✷ OISE | L’abbaye Royale de Chaalis
✷ CITY TRIP | Découvrir Senlis et ses incontournables
✷ OISE | Visiter le château de Chantilly
✷ OISE | Comment fouetter la vraie Chantilly ?
✷ Nos bonnes adresses pour un week-end gourmand
✷ BILAN | Senlis et Chantilly, le temps d’un week-end
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Nous avons découvert Senlis lors d’un reportage avec l’office de Tourisme de Chantilly-Senlis.
Comme pour chaque reportage je reste libre dans le choix des contenus et des photos.
Merci à Laëtita et Peggy.
4 réponses
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