Jour 5 > Le sud-est de Basse-Terre – Guadeloupe
Cinquième jour en Guadeloupe et j’ai déjà un petit pincement au cœur et au réveil je ne peux pas m’empêcher de penser qu’il ne nous reste plus que 2 jours dans ce coin de paradis ! On se lève de bonne heure bien décidés à profiter au maximum de notre séjour.
Au programme de la journée : le Sud de Basse-Terre avec ses cascades, ses baignades en rivière, ses animaux en pleine nature, ses plantes toutes plus belles les unes que les autres, ses randonnées au cœur de la forêt primaire, la distillerie Longueteau et ses champs de canne à sucre, le temple hindou de Shangy, l’allée Dumanoir…
C’est parti !
Que voir, que faire sur la Basse-Terre en Guadeloupe ?
Que voir, que faire sur la côte Est de Basse-Terre en Guadeloupe ?
La route de la traversée
Si vous avez suivi les aventures du quatrième jour vous avez remarqué que nous avons coupé Basse-Terre en passant de la côte est à la côte ouest par la Route de la Traversée. Cette route se trouve à quelques kilomètres au Nord de Petit-Bourg.
Si vous voulez plus de renseignements sur cette jolie route qui démarre sur la côte Est n’hésitez pas à aller jeter un œil sur mon article. Sinon poursuivons notre route en longeant la côte Est de Basse-Terre en direction de Capesterre-belle-eau.
Petit Bourg et le saut de la Lézarde
Comme la veille nous avions adoré notre balade sur la côte ouest de Basse-Terre et le point de vue sur la cascade aux Écrevisses, nous avons repéré 3 cascades pour cette cinquième journée. La première de notre programme se trouve à Petit bourg : le saut de la Lézarde !
Nous avons vu pas mal de photos de cette cascade et nous étions bien décidés à randonner dans la gadoue pour atteindre ce petit coin de paradis mais… nous avons eu quelques surprises !
1ère surprise : Pas facile de trouver le départ de cette rando. Pour point de repère il y a la brasserie artisanale de la Lézarde juste à côté mais c’était compliqué de savoir par où passer. Sur internet nous avons lu quelques indications, aller dans une cour, ancien restaurant, contourner le bâtiment…
2ème suprise : après avoir fouiné dans la rue nous trouvons le départ de la randonnée mais…. l’accès se fait sur un terrain privé. Nous ne sommes jamais très à l’aise de passer sur des terrains privés… mais en plus une autre surprise nous attendait :
3ème surprise : ACCÈS INTERDIT !! Bien que nous ayons vu des photos récemment de la cascade on découvre un panneau qui nous indique qu’il y a un arrêté préfectoral interdisant l’accès et la baignade au Saut de la Lézarde… depuis 2015 !!!
Cela veut donc dire que de nombreuses personnes se rendent sur ces lieux en traversant une cour privée et en bravant l’arrêté préfectoral. On doit bien vous avouer que nous avons hésité, puis fait quelques pas jusqu’au départ de la rando mais l’état du chemin : beaucoup de boue, des branches, terrain glissant, peu stable et pourtant pas mal fréquenté nous a vite incité à faire demi-tour.
Bref, on vous conseille de passer votre chemin tant que l’arrêté ne sera pas levé.
Pour ceux qui cherchent une balade alternative il est possible de visiter les jardins de la Valombreuse (entrée à 15 €), ou la distillerie Séverin, le jardin d’eau (7€), les chutes de Moreau (après 10 km de route difficile et 4 h de marche A/R).
Le Saut du Bras du Fort
En guise de consolation nous reprenons la route pour rejoindre la deuxième cascade de la journée : le saut du Bras du Fort.
Le Saut de Bras de Fort est une jolie cascade sur la Rivière du Fort, dans la commune de Goyave. C’est un lieu de baignade apprécié mais surtout connu des locaux.
La rando se décompose en trois parties : tout d’abord on traverse une plantation agricole puis, on rejoint un sentier forestier très boueux où il faut faire attention aux racines des arbres avant de terminer par un parcours en rivière.
Quand on arrive à la rivière on en prend plein les yeux. L’eau est incroyablement bleue et le soleil perce au travers des feuillages. Durant cette randonnée d’une heure on se sent comme Indiana Jones ou comme Christophe Colomb, des aventuriers à la recherche d’un trésor caché au cœur de la forêt primaire. Il faut slalomer entre les branches, traverser à plusieurs reprises la rivière et faites très attention à ne pas glisser… la chaussure de Maxime en a fait les frais !
Sur le chemin j’en ai profité pour faire quelques photos de la nature. Après 30 minutes de marche nous croisons une première famille, jusque là nous étions totalement seuls après avoir doublé au départ 3 dames, qui de toute évidence, étaient peu habituées à randonner dans la boue.
Après 45 minutes de marche à enjamber les branches, glisser dans la boue,… nous traversons une dernière fois la rivière pour arriver devant le saut du Bras du Fort.
La bonne surprise : il n’y a personne ! Nous ne sommes que tous les deux dans cette immense forêt et nous avons le bassin rien que pour nous (et ça tombe bien puisque les maillots sont restés dans la voiture !).
Cette petite rando matinale nous a donné chaud et nous profitons de ce cadre paradisiaque pour nous baigner. Nous avons vraiment la sensation d’être des privilégiés. Certains rêvent d’hôtels 5 étoiles avec d’immenses piscines avec vue sur mer, avec un cocktail, une chaise longue… nous ce que nous préférons c’est la simplicité et être seuls au milieu de la nature. Ce n’est pas grave si il y a plein de feuilles, de la vase, des cailloux qui font mal aux pieds, des poissons étranges, si l’eau est froide (ou glaciale) du moment que la piscine soit naturelle.
Le grand luxe pour nous aujourd’hui c’est la liberté et pouvoir se retrouver seuls en pleine nature, loin du bruit, loin de l’agitation des grandes villes, loin des horloges qui rythment notre quotidien qui va toujours plus vite… Ces moments sont devenus très importants pour nous.
Informations sur la rando :
– Durée : 2h A/R
– Distance : 3 km
– Dénivelé : 70 mètres
– Difficulté : facile/moyenne
– A Prévoir : de bonnes chaussures qui ne craignent pas la boue et maintiennent bien le pied + maillot de bain
La distillerie Longueteau
La matinée est passée super vite dans notre forêt. Nous retrouvons la voiture sur le petit parking de la randonnée et nous prenons la direction de Capesterre-Belle-Eau pour manger. En chemin on s’arrête à la distillerie Longueteau après s’être cassé le nez devant une nouvelle porte close à la plantation Grand Café. Décidément…. nous n’avons pas eu beaucoup de chance avec les sites que je souhaitais visiter, il semblerait bien que les 3/4 étaient fermés.
Quand on vient en Guadeloupe la visite d’une distillerie est OBLIGATOIRE ! Comment venir aux Antilles sans aller voir comment se fabrique le rhum ? C’est un peu la même chose avec les distilleries de Whisky en Irlande et en Ecosse, d’ailleurs nous avions adoré notre visite de la distillerie Bushmills en Irlande du Nord.
Et puis voyager c’est aussi tester les produits locaux alors on s’est prêtés au jeu de la dégustation de rhum (pour le plus grand plaisir de Maxime, prêt à remplir sa valise de rhum !! Maintenant je comprends mieux pourquoi sa valise était si légère au départ ! Il avait gardé un peu de place pour ramener du rhum).
En Guadeloupe il y a plusieurs distilleries qui proposent des visites gratuites comme la distillerie Longueteau. Cette dernière est un bon exemple de conversion d’une ancienne sucrerie en distillerie. C’est d’ailleurs la plus ancienne de l’île (1895) et la seule à subvenir à tous ses besoins en canne à sucre.
Du parking jusqu’à l’exploitation on traverse les champs de canne à sucre avant de visiter les bâtiments. En tant que fille d’agriculteur je suis toujours sensible aux plantes, aux cultures, aux différentes techniques agricoles et au matériel des fermes des pays que nous visitons. En Guadeloupe tout était beaucoup plus exotique que dans ma Bretagne natale avec les bananiers, la canne à sucre, le café… on ne cultive pas cela par chez nous !
Les bâtiments ont été adaptés à la nouvelle activité et sont accessibles aux visiteurs. Il est alors possible de découvrir le cycle de production et voir le matériel. Ce n’est pas aussi classe et aussi clinquant qu’en Irlande ou en Ecosse avec leurs cuivres mais c’est intéressant de voir d’où vient le rhum.
Après la visite des bâtiments agricoles nous poursuivons dans le jardin où nous attendaient des iguanes et de jolis lézards colorés. Autant vous dire que j’étais comme une folle quand je les ai vus !! Quelle chance <3
Un reptile peut en cacher un autre !
Il faut savoir que les iguanes sont assez sauvages et se cachent très rapidement lorsqu’ils croisent un humain. En arrivant près du bassin de l’exploitation nous apercevons un iguane en train de prendre le soleil. Nous avons à peine le temps de prendre l’appareil photo entre nos mains qu’il courre déjà vers l’arbre le plus proche. Je sors l’objectif et je réussis à prendre 2 photos mais le voilà qui disparaît derrière les racines et je me dis : « Mince la troisième photo est ratée !!« …
Finalement en regardant mes photos j’ai eu une drôle de surprise. Cette photo que je pensais ratée car je n’avais pas réussi à faire la netteté sur l’iguane qui courrait trop vite cachait en réalité un tout petit lézard vert que je n’avais même pas remarqué sur place !!! Trop obnubilée par mon speedy-iguane je ne l’avais même pas vu !
Comme quoi parfois une photo ratée peut réserver une jolie surprise.
Au cœur du jardin et à l’ombre des palmiers se trouve une jolie habitation du siècle dernier et devant elle vous pouvez vous promener le long d’un bassin avec des nénuphars et des crapauds amoureux dans les bassins en contrebas.
A la fin de la visite nous retournons à la boutique pour tester quelques rhums et quelques punchs (afin de remplir la valise du capitaine Maxime). Alors pour l’anecdote sachez qu’une de ces bouteilles n’a pas supporté le trajet dans la valise……… ça sentait le rhum dans toute la maison à notre retour (et je ne vous dis pas la tête du capitaine quand il a compris qu’il ne pourrait pas goûter cette bouteille qui venait de se vider entièrement).
Même si vous ne connaissez pas beaucoup le rhum ou si vous n’aimez pas spécialement les alcools forts je vous conseille vraiment un arrêt dans cette boutique. Le responsable est vraiment très très sympathique et disponible. Il vous fera découvrir les rhums Longueteau ou Karukera de la boutique en fonction de vos goûts. Si vous n’aimez pas les alcools forts il y a aussi plusieurs sortes de punchs faits avec les fruits de l’exploitation.
Le temple hindou de Changy
Au bord de la route un monument attire notre attention : le temple hindou de Changy. Ce temple surmonté de dieux peints de couleurs vives est un des principaux lieux de l’hindouisme sur l’île. Peu de personnes le savent mais il y a une communauté assez importante d’hindous en Guadeloupe.
A noter : Il me semble que ce temple n’est pas ouvert à la visite.
Capesterre et l’allée Dumanoir
Juste au sud de Capesterre on longe une des plus belles routes de Guadeloupe : l’allée Dumanoir. Cette allée d’1 km est bordée des deux côtés par deux rangées d’immenses palmiers royaux qui auraient été plantés par Pinel Dumanoir vers 1850. Cette route où passait autrefois la nationale a été contournée pour le plus grand plaisir des visiteurs (enfin si vous souhaitez votre photo il vous faudra tout de même jongler entre les différentes voitures qui continuent à passer sur cette route).
Les Chutes du Carbet
Après le saut de la Lézarde, le saut du Bras du Fort nous rejoignons notre troisième étape : les chutes du Carbet. Le Carbet est une rivière qui prend sa source à 1 300 mètres d’altitude, sur le flanc de la Soufrière et de l’Echelle. Il parcourt ensuite 10 km avant de se jeter dans la mer au sud de Capesterre.
Le site est constitué de 3 immenses cascades connues sous le nom des chutes du Carbet. L’Histoire raconte même que Christophe Colomb fut très impressionné par ces chutes lorsqu’il débarqua en Guadeloupe.
La première chute est celle qui se trouve la plus proche de la source. Elle est composée de 2 sauts qui représentent une hauteur de 115 mètres ce qui en fait donc la plus haute des trois. Il faut compter 3h30/4h de marche A/R.
La deuxième chute est la plus accessible et la plus proche. Haute de 110 mètres, elle se trouve à 20 minute à pied du centre d’accueil. Pour y accéder il faut traverser une partie de la forêt en passant sur des passerelles en bois et des escaliers. C’est l’itinéraire le plus fréquenté et notamment par les personnes qui ne souhaitent pas se lancer dans de longues randonnées. Depuis le centre d’accueil nous avons aussi une magnifique vue sur les deux cascades.
La troisième chute est la plus petite avec ses 20 mètres de haut et la plus secrète des trois. Elle se trouve à 5 km de Capesterre et est accessible après 45 min de marche.
Nous n’étions pas très bien renseignés sur ces randonnées et nous avons simplement suivi le panneau indiquant : 2ème et 3ème chute du Carbet qui mène au centre d’accueil. A notre arrivée nous découvrons que le site est payant mais l’accueil est fermé ce jour-là. Il y a beaucoup de places de parking le long de la route et le point de vue a été aménagé pour permettre aux personnes à mobilité réduite de pouvoir regarder la vue sur les deux cascades.
On prend la direction de la deuxième chute, la plus accessible et la plus rapide puisqu’en seulement 15 minutes nous arrivons face à la cascade.
La balade permet de traverser la forêt sur des passerelles et des escaliers en bois tout en admirant la végétation.
Bon à savoir : Nous avons été un peu déçus de découvrir que le chemin pour accéder à la cascade était interdit. Il n’est donc pas possible de rejoindre le bassin et il faut se contenter de la vue depuis une passerelle, elle-même partiellement interdite et grillagée.
Les petits animaux de la forêt
Alors que nous grignotons dans la voiture de petits animaux se sont approchés de nous. Vous la savez déjà, j’adore les animaux et j’ai un contact assez facile avec eux depuis mon enfance. Je commence à donner quelques petits morceaux de mon gâteau au premier oiseau que je croise puis il appelle ses copains. Je tends la main et certains viennent même s’y poser pour manger tranquillement. J’adore ces moments <3
Alors que j’ai de petits oiseaux qui viennent picorer dans ma main j’entends un drôle de bruit sur le pneu de la voiture. Je tourne la tête et je distingue un animal se faufiler à toute vitesse dans les broussailles. Au départ j’ai cru que c’était un furet puis l’animal est revenu vers nous tout doucement… c’était une mangouste !! J’étais super heureuse de voir une mangouste de si près et dans son milieu naturel.
A un moment on l’entend grogner et on se rend compte qu’elles sont en fait en famille et qu’elles sont trois. Elles regardent le vol des oiseaux et aimeraient bien aussi un petit truc à grignoter.
Le bassin Paradise !
A quelques mètres de l’accueil des chutes du Carbet se trouve un des plus jolis bassins naturels de Guadeloupe : le bassin paradise (qui porte drôlement bien son nom !!). Nous y sommes arrivés en fin de journée alors la luminosité avait déjà baissé mais l’avantage c’est qu’à nouveau nous avons eu le bassin rien que pour nous !!
Nous avons une fois de plus passé un bon moment dans ce bassin du paradis. C’est grâce au guide Evasion que nous avons découvert ce site comme la plupart de ceux que nous avons visités durant notre séjour. C’est l’outil indispensable à glisser dans votre sac à dos si vous prévoyez de partir en Guadeloupe.
Coucher de soleil
Pour terminer la journée nous avons profité du coucher de soleil sur la plage de sable noir de la Grande Anse avec une vue magnifique sur les Saintes juste en face de nous.
Pour conclure
Encore une belle journée qui s’achève en Guadeloupe.
On commence à compter les heures avant le départ et on essaye de profiter à fond de chaque moment.
Nous avons eu la chance d’être seuls dans des endroits paradisiaques, de pouvoir approcher des animaux dans leur état naturel… demain nous visiterons le Nord de Basse-Terre et son jardin botanique.
En attendant on vous dit à très vite avec une photo plus personnelle
(issue des nombreuses photos que nous gardons habituellement pour nous 😉 ) !
Si vous avez des questions n’hésitez pas à nous laisser un commentaire sous cet article.
Ne ratez pas tous les articles sur ce voyage dans notre rubrique
GUADELOUPE
Deux véritables pros de la rando,vous en avez le « savoir faire » par votre organisation et le « faire savoir » par votre blog rempli de nombreuses photos et de commentaires judicieux. Je vous dis à bientôt ,pour vous suivre dans une autre destination . Bonne » Route à deux » !
Bonjour Jacques et merci pour votre message ! Je suis heureuse de lire que nos reportages vous plaisent et je vous dis à très bientôt puisque je commence l’article du jour 6 🙂 !
Magnifique récit, petite parenthèse le saut de la lézard fait partie des chutes que je trouve les plus magique en guadeloupe. Il y a une atmosphère particulière, le cadre est paradisiaque. Impossible à d’écrire faut le voir pour le croire. Concernant l’arrêté préfectoral, les gens n’y prête même plus attention et le chemin ou la baignade n’est pas plus dangereux qu’ailleurs. Il est claire que personne n’empêchera les locaux de profité des merveilles de leur île.
Merciii 🙂
malheureusement je n’ai pas souhaité braver l’interdit (peut-être à tort) mais je trouve dommage que ces jolies randonnées ne soient pas entretenues tant pour l’environnement que pour la sécurité des personnes qui souhaitent s’y rendre… J’espère qu’un jour nous aurons l’occasion d’y aller ! (et dans le pire des cas cela laisse l’occasion aux locaux de pouvoir profiter tranquillement de leur île)
Très beau reportage je connais la Guadeloupe parfaitement j’ai découvert un autre regard Merci continuez
Oh merciii 🙂 je suis heureuse que mon reportage vous ait permis de porter un autre regard sur la Guadeloupe que vous connaissez déjà très bien. A bientôt pour la suite avec le jour 6
Bonjour, depuis la découverte de votre blog je suis avec beaucoup d’intérêt vos aventures. Si j’aspire à un peu + de confort en voyage (!) mes centres d’intérêt sont les mêmes que les vôtres.
Je suis allée en Guadeloupe il y a quelques années et j’avais trouvé que les temps de déplacement étaient longs, je n’étais pas allée partout et depuis je meurs d’envie d’y retourner. qu’en avez-vous pensé vous qui avez exploré l’île depuis 1 seul point de départ ? Abstraction fait de la durée du séjour et du budget, pensez-vous qu’il serait + pratique d’organiser une partie de l’hébergement dans le nord et une partie dans le sud ?
Et aussi (si ce n’est pas abuser) qu’est-ce qui vous fait préférer les guides Evasion , par rapport à d’autres comme le Routard pour citer un des + connus ?
Bonjour Raphaëlle et merci pour votre message.
Les temps de déplacement sont en effet très longs, beaucoup de monde sur les routes, des routes pas toujours en très bon état… Si nous devions refaire ce voyage nous ferions une semaine à Grande-Terre + îles et une semaine à Basse-Terre. Malheureusement nous n’avions pas plus de vacances alors c’était tout de même une bonne option.
Nos deux préférences vont aux guides Evasion et guide du routard. Le premier parce qu’ils conçoivent des itinéraires sur la route et que cela correspond tout à fait à notre manière de voyager et le second pour les astuces, les randos… pour les autres nous ne sommes pas très fans !
Bonjour, depuis la découverte de votre blog je suis avec beaucoup d’intérêt vos aventures. Si j’aspire à un peu + de confort en voyage (!) mes centres d’intérêt sont les mêmes que les vôtres.
Je suis allée en Guadeloupe il y a quelques années et j’avais trouvé que les temps de déplacement étaient longs, je n’étais pas allée partout et depuis je meurs d’envie d’y retourner. qu’en avez-vous pensé vous qui avez exploré l’île depuis 1 seul point de départ ? Abstraction fait de la durée du séjour et du budget, pensez-vous qu’il serait + pratique d’organiser une partie de l’hébergement dans le nord et une partie dans le sud ?
Et aussi (si ce n’est pas abuser) qu’est-ce qui vous fait préférer les guides Evasion , par rapport à d’autres comme le Routard pour citer un des + connus ?
Bonjour Raphaëlle et merci pour votre message.
Les temps de déplacement sont en effet très longs, beaucoup de monde sur les routes, des routes pas toujours en très bon état… Si nous devions refaire ce voyage nous ferions une semaine à Grande-Terre + îles et une semaine à Basse-Terre. Malheureusement nous n’avions pas plus de vacances alors c’était tout de même une bonne option.
Nos deux préférences vont aux guides Evasion et guide du routard. Le premier parce qu’ils conçoivent des itinéraires sur la route et que cela correspond tout à fait à notre manière de voyager et le second pour les astuces, les randos… pour les autres nous ne sommes pas très fans !